Pensée à partir d’une LabZone menée au cours de l’année 2019-2020 dans le work.master, cette exposition gravite autour de deux ensembles liés à l’extraterrestre : l’habitat spatial (ses formes matérielles et ses formes de vies) et la circulation des images – celles du spatial dans la culture pop, qu’elles soient scientifiques ou non, comme celles de la culture pop dans l’espace (images embarquées lors de vols ou de séjours extraterrestres).

L’exposition réunit des productions des étudiant.e.s, réalisées à partir de réflexions collectives ayant émergé avant, pendant et après la période de confinement, ainsi que des oeuvres d’artistes. L’analogie entre espaces et habitats terrestres et extraterrestres, modèles réduits et répliques, vie confinée sur terre et vie confinée dans l’espace, discours scientifique et discours marchand… est une opération qui traverse chacune de ses propositions.

Grégory Bourilly a réalisé spécialement pour cette exposition une pièce de plus de 200 carreaux sous forme de bas reliefs d'un surface lunaire. Eliott Waldis a éstampé du grès dans des coques termoformées pour ainsi créer des bas-reliefs muraux émaillés.