Atelier - Le Style Anthropocène, The Health Issue
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Raphaelle Marzolf - Segolene Davister
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Humidity & Artificial light, Ines Schupp - Rafael Donoso
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Molds & Temperature, Melina Laville - Julie Reeb
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Natural light & Carbon monoxyde, Abigael Mackenzie - Jody Schinder
© HEAD – Genève
Molds & Temperature, Melina Laville - Julie Reeb
© HEAD – Genève
PM10 - PM2.5 & Radon, Olivia Porter - Capucine Bricheux
© HEAD – Genève
Pollen & Asbestos, Camille Maingret - Hugo Milan
© HEAD – Genève
Humidity & Artificial light, Ines Schupp - Rafael Donoso
© HEAD – Genève

Atelier - Le Style Anthropocène, The Health Issue

Janvier 2021

Atelier dirigé par Philippe Rahm (Philippe Rahm Architectes) assisté de Phi Nguyen.

La pandémie mondiale à laquelle nous sommes confrontés remet en question notre approche de l’architecture et du design. La recherche scientifique a en effet identifié un lien direct entre la transmission du Coronavirus en particulier (la santé en général) et l’utilisation de matériaux dans les espaces intérieurs. Pendant plus de 70 ans, durant la période que nous appelons moderne et post-moderne, les critères de choix des matériaux en architecture ont été largement déterminés d’un point de vue sémantique et analogique. Cependant, les crises sanitaires et climatiques actuelles ont signalé la fin du structuralisme en architecture, nous poussant à considérer la valeur réelle des matériaux et leurs propriétés physiques, physiologiques ou thermiques.

Dans cet atelier, les étudiant·e·s sont mis au défi de réinventer et de ré-imaginer les espaces et typologies architecturales existants (résidentielles, bureaux, commerciales, musées) en abordant le design à partir de différents aspects physiques de l’environnement naturel et bâti en rapport avec la santé, une des problématiques les plus importantes de notre époque. Ceci est réalisé grâce à un processus en deux phases : tout d’abord, des recherches rigoureuses pour parvenir à la compréhension d’un phénomène particulier ; ensuite, l’application des résultats de ces recherches à différents programmes architecturaux pour arriver à une configuration spatiale et un langage de conception non conventionnels. Les étudiant·e·s sont engagés dans des travaux individuels et de groupe.

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