L’atelier semestriel s'est questionné sur notre rôle et responsabilité en tant qu’architectes d’intérieur et appelle à formuler des réponses spatiales à une situation d’actualité.

Dans des villes comme Genève, Berlin ou Paris, où sévit une soi-disante «crise du logement», est-ce réellement un manque de place qui constitue une limite à notre hospitalité ou plutôt une faille dans la structuration de l’espace et des usages de nos habitats ? Nos logements respectifs ne pourraient-ils pas en réalité TOUS loger une personne supplémentaire et se
transformer ainsi, pour une période donnée, en lieux d’accueil ? 

Jusqu’où peut aller l’hospitalité ? Comment l’hospitalité se traduit-elle spatialement ? Quels sont les dispositifs spatiaux à (ré)-inventer, afin de rendre possible et même enrichissante la cohabitation de personnes aux parcours de vie, cultures, âges et besoins différents ?