post-mortem-3.0, Océane Izard et Marion Erard
© HEAD – Genève, Emily Bonnet, Océane Izard et Marion Erard
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© HEAD – Genève, Emily Bonnet
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© HEAD – Genève, Emily Bonnet
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post-mortem-3.0, Océane Izard et Marion Erard
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post-mortem-3.0

Juin 2014

Projet de diplôme de Marion Erard et Océane Izard
Prix de la fondation BEA pour Jeunes Artistes
Bachelor Communication Visuelle

Je décède, je décide. Internet nous permet, en tant qu’utilisateurs 2.0, de composer l’ensemble des données qui retracent notre vie et qui nous rattachent les uns aux autres. Mais peut-on pour autant considérer Internet comme l’archive de notre vie ? Lors d’un décès, il y a quelques années nous perdions un corps, une présence physique, désormais il faut aussi prendre en compte la dimension numérique qui est liée à la personne décédée. Comment les technologies numériques changent-elles la manière dont nous nous souvenons ? Mais aussi com­ment la mort peut-elle perdre son caractère réel et dé­finitif sur Internet ? À ces questions, Post mortem 3.0 propose une carte que chaque individu est libre de remplir selon ses va­leurs et ses convictions afin de déterminer s’il souhaite être maintenu en vie virtuellement après son décès ou non.

post-mortem-3-0.com

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