Speak Easy, maquette de Jessica Dubochet, atelier [inter]marché
© HEAD – Genève, Baptiste Coulon
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Pavillon final, Bois de la Bâtie, Genève
© HEAD – Genève, Michel Giesbrecht
Axonométrie pavillon
© HEAD – Genève, atelier [inter]marché
Café suspendu, présentation de Dany Champion, Valentin Dubois
© HEAD – Genève, Baptiste Coulon
Café suspendu, Dany Champion, Valentin Dubois
© HEAD-Genève, Baptiste Coulon
L'îlot Pêcheur, maquette de Marion Vergne et Antoine Lapeyre
© HEAD – Genève, Baptiste Coulon

Atelier [inter]marché

Février 2017

A vos marcs Workshop dirigé par Anne-Laure Gestering assisté par Alice Dunoyer

L'atelier de projet [inter]marché propose d'explorer les limites au sein de la ville et de tester en quoi ces frontières ressenties -même si souvent non visibles- ont un potentiel en tant que lieux d'échange, d'interaction sociale.

Au cours des huit premières semaines et en s'appuyant sur recherches et analyses urbaines, les 14 étudiants de l'atelier ont esquissé en binôme des propositions spatiales sur sept sites genevois. Un des projets a été choisi, afin d'être réalisé à l'échelle 1 et testé in situ, par l'ensemble de l'équipe d'atelier. 

Le travail à une échelle urbaine et sous le mode de l'intervention est une manière pour les étudiants de se confronter à de nombreux aspects aussi présents dans la pratique d'architecte d'intérieur, tout en les abordant sous une nouvelle perspective. 

Le projet "A vos marcs!“ livre une interprétation spécifique du thème du marché, en thématisant et réinterprétant le cycle de vie du café. Le café devient tour à tour 'moment' (de pause, de partage) et 'outil' (les bûches sont réalisées collectivement à base de marc de café), autour desquels les usagers se rencontrent, se retrouvent, échangent. Dressée au pied du Bois de la Bâtie dans l'axe de la passerelle, l'installation devient articulation entre des paysages, ambiances, rythmes et acteurs multiples. Jouant sur le registre du refuge urbain, entre intime et public, le projet invite à une nouvelle pratique de la ville.

 

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