Projet de recherche du TAAG - Développement de cartographie des représentations de l’anthropocène sur le territoire genevois.
© HEAD – Genève

L’Atlas de l’Anthropocène à Genève (TAAG)

Décembre 2016 - Décembre 2018

Institution requérante: HEAD – Genève
Chef de projet: Gene Ray, Professeur Arts visuels (HEAD – Genève)
Equipe: Aurélien Gamboni, Janis Schroeder, Kathleen Stevenson
Financement: Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS)
Partenaires:
Lain Boal, Retort Collective, Berkeley et Londres
David Cross, Chelsea College of Arts, Londres
Hannah Entwisle, Chelsea College of Arts, Londres
Anna Grichting, Qatar University
Sacha Kagan, Leuphana University, Lüneburg
Armin Linke, Zentrum für Kunst und Medientechnologie, Karlsruhe
Nils Norman, Royal Danish Academy of Fine Arts, Copenhage
Catherine Quéloz, HEAD – Genève
Grégory Quenet, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines
Philippe Rekacewicz, United Nations Environment Programme
Liliane Schneiter, HEAD – Genève
Paolo Tavarez, Center for Research Architecture, Goldsmiths College, Londres
Chris Wainwright, Camberwell Chelsea Wimbledon Colleges of Arts, Londres

Contact: Gene Ray
taag.head@hesge.ch

Site internet

TAAG étudie la façon dont humains et non-humains répondent aux enjeux d’une planète et d’un climat en mutation, au sein de l’écologie urbaine particulière de Genève. La recherche se concentre en particulier sur les relations qui s’établissent entre des acteurs humains (comprenant des citoyens et artistes aussi bien que des scientifiques, membres d’institutions internationales et d’ONG) et des agents non-humains (déplacement territorial de climat, arbres aux fonctions rituelles, pierres dotées d’un nom, toxines en mouvement, etc.). 

Avec ses réseaux très denses d’institutions internationales et de recherche, d’ONG et d’initiatives citoyennes, la ville de Genève offre un terrain exemplaire pour mener une telle investigation. Quels types de représentations scientifiques, politiques et artistiques émergent-elles dans ce contexte? Dans quelle mesure ces représentations permettent-elles de nous rendre sensibles aux impacts des activités humaines? Comment les savoirs sur ces transformations planétaires sont-ils traduits dans des pratiques quotidiennes? Et dans quelle mesure questionnent-ils les relations entre humains et non-humains ?

Programme du Symposium international "L'Atlas de L'Anthropocène à Genève" du 18 octobre 2017

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