Le prix Genilem HES est ouvert aux étudiant-e-s, alumni et corps intermédiaire des écoles HES genevoises. Il offre un tremplin à celles et ceux qui souhaitent transformer une idée innovante en une entreprise, organisation ou association. A la clé des prix de CHF 10'000.-, CHF 5'000.- et CHF 2'500.- ainsi qu'un coaching par des expert-e-s de l'entrepreneuriat. 

Vous avez une idée innovante ? Postulez jusqu'au 31 août 2019 sur www.prixgenilemhes.ch. 

Vous avez une idée innovante ? Vous travaillez sur un projet prometteur ?

–Pulse Incubateur HES est la nouvelle structure d’accompagnement de projets innovants et à fort potentiel portés par les étudiant-e-s ou diplômé-e-s des écoles de la HES-SO Genève. Seul-e ou en équipe, vous bénéficierez de la structure et des ressources mises en place pour vous aider à développer votre projet. Profitez d’un espace dédié de 700m2 en plein centre-ville composé d’un espace de co-working, de salles de réunion et d’un espace événementiel.

Avec près d’un million d’habitants, l’agglomération franco-valdo-genevoise doit faire face aux enjeux des métropoles et des zones transfrontalières. Les défis sont nombreux et de nature diverse, qu’il s’agisse d’aménagement du territoire, de mobilité, de cohésion sociale, de santé publique, d’environnement, de marché du travail, ou encore de politique culturelle. Pour y répondre, il est indispensable de bénéficier de regards croisés et d’adopter des approches interdisciplinaires.

Up green, c’est le grand gagnant du Prix Genilem 2018, prix qui offre un tremplin à celles et ceux qui veulent transformer leur idée innovante en entreprise, organisation ou association grâce à son chèque de CHF 10000 et au coaching offert.

L’espace donné à la réflexion sur l’usage des bâtiments délaissés permettra-t-il de découvrir leur potentiel pour la culture ? A travers des ateliers, des conférences et une table ronde, l’Association Pavillon Sicli cherche à savoir comment et quel patrimoine valoriser par la culture. Toutes les informations et inscriptions

Intervenant-e-s :

Pour cette édition 2017-2018 de l’atelier Créagir – inventer la ville de demain, quatre groupes d’étudiantes et étudiants des écoles HES genevoises ont travaillé à des projets d’accompagnement de la transition entre l’actuelle zone industrielle et le futur quartier urbain Grosselin qui accueillera logements, commerces, bureaux et ateliers.  

Les six écoles de la HES-SO Genève ont remis leurs Distinctions HES lors de la soirée de clôture de l'Evénement HES jeudi 3 mai 2018, au Bâtiment H, sur le nouveau Camus HEAD à Châtelaine. Chacune de ces distinctions honore un partenaire qui participe au rayonnement de chaque école, en les accompagnant dans la réalisation de leurs missions fondamentales : formation supérieure et recherche appliquée et prestations de service.

Les lauréates et lauréats sont :

Six école HES, et autant d’interprétations de «Mobilité(s)», le thème de l’Evénement HES 2018. Du 19 avril au 3 mai, la HES-SO Genève permet au public de s’interroger sur les mobilités au travers d’expositions, concerts, conférences, parcours et happenings.

Pour annoncer les différents événements de la quinzaine HES, les étudiant-e-s investissent la rue : c'est le projet Street life.

Imaginer la transformation d’un quartier par des projets agiles, collaboratifs et interdisciplinaires favorisant l’engagement des populations. Les étudiants des filières de santé, de gestion, du travail social, d’architecture, d’architecture du paysage, du design et de la gestion de la nature collaborent et proposent en petits groupes des projets créatifs et concrets pour inventer la ville durable de demain.  

La HES-SO Genève présente la deuxième édition de son enquête sur le Grand Genève. Intitulée "Le Grand Genève, sa population et son désir de vivre ensemble", elle est réalisée par des professeurs et étudiants de la HEG-Genève, et soutenue par l’agglomération franco-valdo-genevoise. Par rapport aux résultats de 2016, l'évolution la plus marquée concerne la mobilité. Cela reste de loin la préoccupation principale pour 45% des sondés, alors qu’ils n’étaient que 34% en 2016.