Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot
Liliane Puthod, Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013
© HEAD – Genève / Christain Robert-Tissot

Mandat Situs, Clinique de la Colline, Genève

January 2013

Liliane Puthod

Situs

En collaboration avec Christian Robert-Tissot

Atrium du bâtiment Colline Champel, 2013

Un projet du laboratoire ALPes

Rien de trop, mêdén agan était-il écrit sur le temple de Delphes. C’est l’exigence qu’appelle évidemment l’immense paroi de soutènement dans l’atrium du 76a, av. de la Roseraie à Genève. Le défi est de trouver les formes justes capables d’y inscrire un rythme et un sens. Le projet lauréat du concours, Situs, de Liliane Puthod, met en évidence le lieu avec un minimum d’ostentation. Évoquant l’élémentaire du langage scientifique binaire, il renvoie à la vocation de recherche médicale et d’enseignement du bâtiment, en jouant avec la géométrie des ancrages structurant le plan du mur.

C’est à la suite d’un premier concours adressé à des artistes confirmés et qui n’a pas pu faire apparaître de projet lauréat que s’est dessinée cette invitation faite par la SA Colline Champel. Les conditions exceptionnelles de ce projet, du fait de la pérennité de l’oeuvre et d’un contexte particulièrement sophistiqué, ont permis d’explorer la commande dans un espace inscrit dans l’architectural, aux limites du privé et du public, le bâtiment étant aujourd’hui fréquenté par les patients des cabinets médicaux ET par les étudiants de la Haute école de santé et de l’Université (et bientôt par les amateurs d’art).

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