Haute école de gestion de Genève
Relations internationales
Campus de Battelle, Bâtiment B
Rue de la Tambourine 17
CH-1227 Carouge, Suisse
Depuis toujours, la Haute école de gestion de Genève s’est fixée une vocation internationale, d’où son engagement dans un processus de développement de ses coopérations et de ses partenariats au niveau mondial.
La HEG-Genève en compte environ 160 partenaires répartis dans une quarantaine de pays. Elle offre la possibilité de partir dès le semestre 3, pour une durée d’un ou de deux semestres, dans une filière équivalente.
Par ailleurs, les étudiant·e·s en informatique de gestion sont également autorisés à faire un séjour dans une filière d'économie d’entreprise de nos universités partenaires.
Vous avez été sélectionné pour un échange d’un ou deux semestres à l’étranger.
Bien que votre université d’accueil soit votre principal interlocuteur en ce qui concerne le logement et les différentes démarches liées à votre séjour, voici un bref récapitulatif des formalités à remplir avant votre départ :
Si vous êtes suisse, vous n'avez pas besoin de visa pour entrer dans les pays de l'UE/AELE. Un passeport ou une carte d'identité valables sont en principe suffisants. Si vous êtes un ressortissant étranger domicilié en Suisse, adressez-vous à la représentation compétente de votre pays de destination en Suisse (ambassade ou consulat).
Pour de nombreux pays hors Union Européenne, l’obtention d’un visa d’études est une condition préalable au départ. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou du service consulaire de votre pays de destination.
Attention, un visa d’études a un coût et nécessite parfois un voyage à Berne. La procédure peut prendre plusieurs mois!
Vérifiez enfin que votre passeport soit valable au moins 6 mois après la fin de votre séjour à l’étranger.
Avant votre départ, renseignez-vous auprès de votre assurance maladie afin d’obtenir une couverture médicale à l’étranger. Si nécessaire, concluez un supplément d’assurance pour la durée de votre séjour et demandez un certificat d’assurance que vous devrez probablement présenter à votre université d’accueil.
Dans le cadre des échanges internationaux et accords de collaboration signés entre la HEG-Genève et les universités partenaires à l'étranger, un soutien financier peut être accordé aux étudiant·e·s, pour autant que le séjour soit d'une durée d'un semestre ou deux.
Les étudiant·e·s sélectionné·e·s restent immatriculé·e·s à la HEG-Genève et paient la taxe d’écolage semestrielle à Genève. Ce soutien financier ne couvre que les frais de séjour tels que repas, transports, livres d’école et logement.
Le bureau des Relations Internationales de la HEG-Genève s’occupe de la demande de bourse auprès de la HES-SO d’où proviennent les fonds.
Les avantages acquis grâce à un séjour d’études à l’étranger sont nombreux :
Si un ou deux semestres d’études à l’étranger vous intéressent et que vous êtes promu·e·s, n’hésitez pas à vous inscrire.
Vous songez à effectuer un échange d’un semestre ou d’une année ou à réaliser un double diplôme à l’étranger. Mais quelle université choisir?
Union Européenne, Asie, Amérique : toutes ces destinations vous font rêver…. Prenez le temps de préparer cette parenthèse. Voici quelques outils qui vous aideront à faire votre choix.
Vous avez fait votre choix de destinations et vous vous êtes renseigné sur les spécificités des universités que vous avez retenues.
Vous pouvez maintenant concrétiser votre projet en six étapes :
Vous devez avoir accompli et réussi au moins deux semestres de formation à la HEG (60 ECTS).
Si vous êtes dans la filière IBM, EE à temps plein ou dans l’orientation Banque et Finance, vous êtes soumis à des conditions particulières.
Si vous êtes dans la filière informatique de gestion, vous êtes autorisé à effectuer un séjour d’un semestre dans une université partenaire offrant des cours d’économie d’entreprise. Pour les séjours d’une année entière, le choix doit se porter sur un accord conclu spécialement pour la filière IG.
Conditions générales de candidature
Les dossiers d’inscription sont déposés et traités durant la période d’inscription du semestre précédant l’échange. Nous ne réservons pas de places à l’avance, il est par conséquent inutile de nous soumettre un dossier de candidature avant la période officielle.
Certaines universités ont un délai d’inscription anticipé. Renseignez-vous et assurez-vous de le respecter.
Un test de langue peut également vous être demandé par l’université partenaire. Le cas échéant, veillez à effectuer les démarches à l’avance.
Seuls les dossiers complets sont pris en considération. Celui-ci doit contenir:
Une sélection a lieu si le nombre de candidats dépasse le nombre de places disponibles dans l'institution d'accueil. Veuillez ne pas prendre contact ou vous inscrire directement auprès de l’université partenaire avant d’avoir été officiellement sélectionné·e par la HEG.
Une fois les places attribuées, vous recevrez un mail de confirmation contenant la marche à suivre pour finaliser votre inscription.
Si vous êtes accepté·e par la HEG pour l’une des universités choisies, nous enverrons une nomination officielle à l’université partenaire qui vous fera parvenir des indications supplémentaires sur une éventuelle procédure d’inscription au sein de leur établissement.
Il ne vous reste plus qu’à planifier votre séjour (budget, logement et réservation des billets pour votre voyage, etc).
Le BCI est une organisation qui regroupe tous les établissements universitaires québécois.
Délai de remise de votre dossier complet à la HES-SO de Delémont: 15 février de chaque année pour partir en septembre de la même année
Vous avez envie de voyager, d’apprendre une nouvelle langue ou tout simplement de perfectionner vos connaissances dans certains domaines ?
Les programmes Summer school sont faits pour vous !
Les programmes Summer school sont des cours organisés par certaines universités durant l’été sur une courte période qui varie selon l’établissement et qui vous permet de faire un petit voyage linguistique dans une université étrangère.
Ces programmes ne sont pas pris en charge par la HEG et si l’un d’entre eux vous intéresse vous devez faire personnellement les démarches nécessaires pour y participer.
Les coûts varient d’une université à l’autre et sont à votre charge. Nous n’offrons pas de bourse pour ces cours.
Les crédits ECTS obtenus durant ces cours ne sont malheureusement pas pris en compte dans votre cursus à la HEG.
Sur cette page nous vous exposons les possibilités de destinations qui offrent ce genre d’expérience et vous laissons le choix d’y participer ou pas.
Vous trouverez les liens des formulaires d’inscription pour certaines universités en bas de la page. Des liens pour des informations complémentaires y figureront aussi. Les autres documents qui ne sont pas présents sur cette page sont disponibles au bureau des relations internationales, au guichet mobilité, Bâtiment B, bureau B1.05 de 10h à 12h.
Découvrez les témoignages.
Grâce à l’offre mobilité de la HEG-Genève, j’ai eu la chance de pouvoir effectuer deux semestres d’échange (20/21) Erasmus dans la vibrante capitale d’Allemagne, Berlin. J’ai participé au programme « International Business Certificate » (IBC) qui est dispensé en anglais et destiné aux étudiants étrangers.
Fin août 2020 je trouve avec succès mon logement pour les trois premiers mois. Fin septembre je débarque dans cette incroyable ville. Entre les cours je découvre, Berlin vit, Berlin vibre, c’est une ville où tout se mélange, les genres, les gens, la musique, la culture. Je m’adapte rapidement à ce nouvel environnement. Malgré un échange en période Corona, l’esprit berlinois est là.
Le campus ISM Berlin (International School of Management) a ouvert en 2019 et accueille un petit nombre d’étudiants (env. 200), l’ambiance est familiale et les professeurs sont entièrement dévoués aux élèves, c’est très appréciable. Les méthodes d’enseignements sont également autres qu’en Suisse. Alors qu’en Suisse une approche détaillée et profonde du sujet s’applique, les professeurs « allemands » préfèrent une approche générale et une vision plus globale afin de nous donner un cadre élargi des applications possibles. En effet le mot d’ordre est qu’il n’y a jamais de oui, ni ne non clair. En effet la réponse la plus probable selon leur approche du management est la suivante : « ça dépend ».
L’organisation générale était bonne dans l’ensemble, à noter quelques couacs organisationnels relatifs à des changements de programme last minute. Les plannings de cours sont cependant envoyés au début du semestre et permettent de planifier ses activités personnelles. Les plages horaires de cours sont organisées en bloc ce qui permet de profiter de la ville et toutes les activités, curiosité et sorties. Cependant ça peut être parfois compliqué de rester concentré 4 périodes de 1h30 sur le même sujet.
Au semestre d’automne, la classe IBC étaient composée au total de 12 élèves, probablement à cause de la crise COVID. Les nationalités présentes étaient Russie, Angleterre, Belgique et France en majorité. A côté de cela afin de vivre une expérience réellement internationale et rencontrer du monde, j’ai rejoint via Facebook et WhatsApp des groupes Erasmus, Expat, ... et grâce à cela j’ai développé un vaste réseau et de fortes amitiés.
Au 2ème semestre, le nombre de participants au programme était d’environ 40 étudiants, toujours dans une ambiance Corona, les cours de sont déroulé 50% présentiel, 50% en ligne. Encore une fois une grande majorité de français et seulement une chinoise et un italien.
Ce manque de variété (niveau linguistique) est dommage pour l’apprentissage des cultures et l’expérience Erasmus.
Étant en recherche de cette variété, du mix de culture et de diversités, et souhaitant parler anglais fluently j’ai favorisé mes contacts hors campus avec des étudiants, travailleurs, stagiaires internationaux. Mes objectifs personnels ont été atteints et je suis très satisfaite de cet échange.
Tombée amoureuse de Berlin avec son atmosphère libre et internationale, j’aurai souhaité pouvoir rester plus longtemps. J’envisage dès lors un retour, pourquoi pas pour une expérience professionnelle à l’étranger après l’obtention de mon Bachelor.
I didn’t know much about Birmingham before the exchange, but what I can say at the end of this semester is that this city deserves to be better known. It provides a pleasant place to live and the university is located just outside the city centre, in a suburban area surrounded by nature. Also, the campus is full of places which promote social interactions, such as restaurants, parks and cafés. The main library is modern and almost always open. I enjoyed studying in England because students are encouraged to learn by themselves. Teachers typically provide a wide range of materials without following a stringent program. There is a clear emphasis on collaboration and self-discovery. If you like reading, Birmingham is definitely a destination for you! Throughout the semester, I noticeably improved my skills in academic research and note-taking, as the wide range of materials available requires discipline and dedication, especially for non-native speakers.
From a social perspective, it was really enjoyable to live with other international students. I shared meals, nights, and built friendships with people from all over the world. For me, it was fundamental to step out of my comfort zone and I did my best to connect with new people. I think that a semester abroad represents an occasion to become more open-minded and flexible. In the beginning, living away from my familiar environment was challenging, but over time I got used to it and learnt to appreciate the experience with more detachment. Even though I felt lonely at times, mainly because of the pandemic, I remained grateful in all circumstances. Such adventures are not open to everyone and it is a privilege which occurred only once in a lifetime.
Because of the pandemic, I wasn’t able to engage in as many social activities as I wished. Nevertheless, I had about two courses per week on campus and I got on very well with my flatmates. As I said, being flexible is indispensable to get maximum satisfaction from the exchange. In addition, spending time just by myself was an opportunity to develop skills and keep exploring new activities. My daily runs, yoga and meditations sessions were welcoming parenthesis into my days and kept me fulfilled. I only had a few timetabled courses per week, as most of the work had to be done from home. It was really enjoyable to manage my time freely. Overall, I would recommend Birmingham to anyone willing to discover a different way of teaching, make new friendships and interested in the British culture.
En premier lieu, je tiens à vous faire part de ma satisfaction concernant les cours qui m’ont été enseignés à ICMS. Des petites classes menées par des professeurs qualifiés avec de bonnes expériences professionnelles m’ont beaucoup plus. La matière enseignée était plutôt intéressante et je trouvais que les professeurs étaient très appliqués dans leur travail et surtout à disposition en dehors des heures de cours. De plus, mes horaires se tenaient sur deux jours de cours par semaine, ce qui m’a permis d’apprécier et de profiter un maximum de cette destination de rêve. Ensuite, concernant le code vestimentaire requis dans cette école, le costard a plutôt été embêtant à porter certains jours de grosse chaleur. Cependant, ce dernier a apporté un charme au campus et nous a donné un avant-goût de la manière dont on devra surement s’habiller pour notre futur professionnel.
Pour parler un peu du campus, ICMS ressemble à un château, ce qui m’a beaucoup impressionné et surtout siège sur une colline qui nous donne une vue exceptionnelle sur la ville de Manly ainsi que sa plage. N’étant pas un fan de grandes villes, j’ai adoré Manly qui, selon moi, se caractérise plus comme une ville plutôt balnéaire. Cette expérience, qui fut mon deuxième passage en Australie a été sans hésitation à la hauteur de la première. Ce qui amène selon moi cette plus-value à ce pays est l’hospitalité, la manière de penser et la gentillesse des Australiens sans parler du beau temps et des barbecues dans les parcs. De plus, depuis que le gouvernement Australien met à disposition un grand nombre d’établissements sportif, cela pousse les gens à adopter un mode de vie sain et actif. Cela dit, cette expérience a confirmé mon envie d’aller un jour m’installer en Australie.
Malgré cet inattendu Covid-19 qui a chamboulé cette expérience, je trouve que ICMS s’est très bien organisé et adapté aux nouvelles circonstances. Je n’ai eu aucun problème à suivre les cours en ligne. En parallèle, quand Manly commença à fermer plusieurs commerces, restaurants, bars et autres endroits publics, cela changea malheureusement toute la bonne humeur et joie qui égayait cette ville balnéaire. Plus les jours passaient, plus les rues devenaient vides et moins les jours excitants. Le fait d’avoir pris la sage décision de rentrer 2 mois plus tôt que prévu, cela m’a grandement attristé surtout après avoir eu vent de comment le pays a bien géré la situation de crise. Etant donné que les fitness avaient aussi fermés, j’ai eu la chance de quand même pouvoir continuer à aller surfer pour mes derniers jours. Ce sport a vraiment été une révélation pour moi ces dernières années…
Dans ce rapport, je souhaiterais vous faire part de mon expérience en tant qu’étudiante de la HEG de Genève venant faire un échange Erasmus à Séoul, plus précisément à Dankook University.
En effet, il vrai que le moment était mal choisi pour un échange universitaire avec toutes ces histoires de COVID. Au départ, je n’étais plus du tout motivée à partir, car quand tout a commencé, la Corée du Sud était l’un des pays à avoir le plus de cas de coronavirus. En voyant la situation s’aggraver, la HEG nous a laissé le choix d’annuler notre échange et reprendre les cours à la HEG. J’ai longuement réfléchis, mais j’ai finalement décidé de partir car les cours à la HEG avaient déjà commencé et je n’avais plus de logement sur Genève. De plus, j’avais déjà investis beaucoup d’argents dans cet échange. La décision de partir, était la meilleure décision que j’ai prise cette année. Malgré cette pandémie, je ne regrette absolument rien de mon voyage et si c’était à refaire, je referais le même choix.
Etant donné que mon Université se situait dans les provinces de Séoul et non à Séoul même, nous avons décidez avec des amis de la HEG avec qui j’ai voyagé de prendre un appartement ensemble au cœur de Séoul. Aucun d’entre nous ne voulait dormir dans les dortoirs de nos universités respectives. De ce fait, c’était le meilleur choix à faire. De plus, les cours se sont fait en ligne tout au long du semestre, et toutes les infrastructures du campus étaient fermées. Donc, concernant la vie au sein du campus, nous n’avons rien loupé.
Nous avons trouvé notre appartement sur Airbnb. Notre propriétaire était d’une gentillesse incroyable et exemplaire. Avant d’arriver à Séoul, nous avions une très bonne communication avec lui. Il parle très bien anglais donc la communication était fluide et agréable. L’emplacement de l’appartement était génial. Nous étions proches de tous les quartiers vivants de Séoul et nous avions les transports et les shops à proximité.
La culture coréenne est l’une des plus belles cultures que je n’ai jamais vues. Au départ, avant de venir ici, j’avais un peu peur qu’ils soient fermés aux étrangers. Mais à ma plus grande surprise, les gens étaient vraiment ouverts et très gentils avec nous. A aucun moment je me suis sentie mal ou ai-je senti une discrimination dans ce pays. Bien sûr, nous avons subi de temps en temps des regards mais cela venaient plus des personnes âgées et c’était plus de la curiosité qu’autre chose. Durant mon échange, j’ai eu la chance faire beaucoup d’activités culturelles à Séoul. Par exemple, les temples, la découverte de la musique K-pop, l’importance des karaokés et leur amour pour les BBQs. J’ai également eu l’occasion de voyager dans le pays. Je suis allée à Busan l’une des autres villes les plus connues de la Corée du Sud, et à Jeju une île située au sud du pays.
Ici, j’ai fait des rencontres exceptionnelles. Malgré le fait que je n’aie pas été dans le campus, j’ai tout de même rencontré des personnes incroyables, majoritairement des étudiants.
Il est vrai qu’avec le coronavirus, nous avons dû suivre les cours en ligne durant tout le semestre, chose qui n’était vraiment pas évident. Cela a totalement chamboulé le déroulement du semestre. Malgré tout, Dankook University a su bien gérer la situation et avait une très bonne organisation.
Pour finir, je suis vraiment très heureuse d’avoir eu l’opportunité de faire cet échange et remercie la HEG d’avoir rendu cela possible. Ce voyage a été et est (car il n’est pas encore fini) l’une des meilleures expériences jusqu’à présent. Ici, j’ai vécu le COVID d’une différente manière. Etant donné qu’il n’y avait pas de quarantaine et de confinement, j’ai pu profiter de ce que la Corée avait à offrir tout en respectant la « social distance ». Je suis plus qu’HEUREUSE d’avoir effectué cet échange et je le recommande à TOUS ! Encore une fois, je remercie la HEG et plus particulièrement Madame Aude Taylor pour sa collaboration, compréhension et surtout pour sa patience.
I would like to take this opportunity to thank Haute Ecole de Gestion de Genève for having a partnership with one of Denmark’s University Colleges, specifically University College Lillebaelt in Odense. In this testimonial, I will share my experience of being an exchange student for two semesters amidst the COVID-19 pandemic in the Region of Southern Denmark.
To begin with, I consider this exchange programme as a new challenge and an excellent opportunity to experience living abroad independently and a chance to expand my knowledge and horizons further. Due to the pandemic, I had to change my destination list at the last minute and favour staying in Europe instead. It is one on my bucket list to experience living in a Nordic country as an international student. Thus, I am grateful to have an opportunity to be an exchange student in Denmark. Moreover, as approximately 86% of Danes speak English, this helped me improve my communication skills and be more confident in speaking the language.
It is the city of Hans Christian Andersen, a Danish author best known for writing fairy tales including “The Little Mermaid”, annual festivals such as Tinderbox and Odense Harbour Culture Festival. Odense has a rich cultural life and is a vibrant & urban city where you can enjoy the cosy atmosphere, admire the city’s many green oases, and it has over 545 km of cycle lanes!
I stayed in UCL’s residence in Anderupvej, where the utilities are already included with rent and provide a furnished room with a bathroom. We also shared common areas such as the living room, laundry room and kitchen. Although I was sceptical about sharing the kitchen with a maximum of 13 students, I have never thought I would enjoy sharing the kitchen with other Erasmus students. This part of the residence is where we bond, share our daily rants and stories. I also travelled around Denmark with them. In addition, my campus (UCL’s faculty of Business and Technology) is accessible by bus or by bike from Anderupvej. A budget-friendly grocery store is just 50 meters away from the residence.
The educational approach in UCL (also in Denmark, in general) is different from HEG, specifically the timetable, the way of teaching and the grading system. The classes were 100% face to face until the number of cases of COVID-19 increased around December, and the classes were on “hybrid mode” until the end of the school year. This institution also has a partnership with local companies which provide students internships. As I was enrolled in the Innovation and Entrepreneurship programme, I had the opportunity to be an intern for a local company during the spring semester for approx. 2.5 months. I was a bit disappointed regarding the quality of education in UCL as I found it average. In my opinion, UCL could have engaged better professors.
“Skål!” (Cheers!). Danes drink a lot of alcohol. Odense’s most prominent street food house called Storms Pakhus is located 150m away from my campus. Due to the pandemic, I could not participate in UCL’s yearly summer and winter games and hang out in UCL’s Friday bar named Beerbox, wherein it hosts beer pong tournaments and other events. Studenterhus Odense hosts a lot of activities for students and serves alcohol at student-friendly prices. Also, to make the most of my exchange programme, I joined Erasmus Student Network in Odense to socialize with the locals and other international students. This association organizes travels in and out of Denmark at a reduced price and hosts weekly events. Unfortunately, the mentioned activities were postponed from mid-December due to rising cases of COVID-19.
13h15, jeudi 24 juin 2021 me voici à l’aéroport de Séville. Ce moment d’attente assis à regarder les avions atterrir et décoller met un terme à 5 mois d’échange Erasmus dans une des plus belle ville d’Espagne. En partant début février je savais que je me lançais dans une nouvelle aventure avec plein de découvertes et de rebondissements. En arrivant à Séville j’ai gagné 20°c passant de -3°C à 17°C. ce fut mon premier grand moment de bonheur. Sans grande connaissance de la langue, j’ai appris jour après jour quelques mots, phrases, jusqu’à comprendre des conversations entre espagnol. Cette année 2021 n’était pas évidente pour tout le monde, le covid-19 à fermé beaucoup de portes et a demandé plus de travail administratif. Partir en échange Erasmus pendant cette période n’était peut-être pas l’option la plus facile et évidente mais je pense qu’au final ça rend l’expérience unique avec des hauts et des bas. Cela dit, l’Espagne a proposé une politique assez ouverte économiquement, similaire à la Suisse. Ce qui a rendu le séjour plus agréable.
L’université de Loyola Andalucia est très moderne, architecture magnifique à mon goût. Cependant, son emplacement très excentré de la ville est un point négatif car les transports publiques ne sont pas pratique dès lors les étudiants espagnoles viennent tous en voiture personnelle ( pas très écolo…) Je trouve ça assez étonnant au vu de la prise de conscience du réchauffement climatique. Je pensais pas que ce système très américain pouvait encore voir le jour en Europe actuellement. Les infrastructures sont d’une très grandes qualités, tout comme les cours en ligne mis à disposition en début de semestre. J’ai pu profiter d’un cours particulier en espagnol sur 14 semaines ainsi que des cours annexes sur la culture et traditions de l’Espagne et plus particulièrement de l’Andalousie. Allant de la gastronomie à l’histoire mais aussi sur les coutumes et spécialités du terroir. Je trouve important de s’immiscer un maximum dans la culture du pays et d’y apprendre son fonctionnement.
La ville de Séville est splendide avec une architecture bien particulaire dû à son passé de mixité culturelle. À cela on peut ajouté que l’Andalousie en général jouit d’un patrimoine culturel exceptionnel. Lors de cet échange j’ai eu l’occasion de visiter quelles villes tel que Grenade, Cadiz, Cordoba, Tarifa et Ronda. Chacune à sa propre personnalité mais elles dégagent toutes une grande beauté. Lié à ça, une météo radieuse avec 6 jours de pluie sur les 5 mois passé là-bas et une température relativement chaude voir suffocante sur la fin avec des pics à 38-39°C.
J’avais comme plan de partir hors de l’Europe pour mon échange Erasmus, malheureusement dû à la crise sanitaire du Covid-19 cette possibilité c’est envolée. Cependant, je suis extrêmement heureux de ces 5 mois à Séville. Je recommande grandement cette destinationaux étudiants.
Je suis arrivée en Espagne le jeudi 18 février 2020. Cette date restera gravée à jamais dans ma mémoire. Ce fut le début d’une expérience inédite, incroyable et surtout inoubliable. Grâce à cet Erasmus en Espagne, et plus précisément dans la ville de Huelva, j’ai pu apprendre énormément.
Tout d’abord, sur l’autonomie. Je suis fille unique, mes parents sont aux petits soins pour moi depuis toute petite. Je n’ai jamais manqué de rien et mes parents faisaient à peu près tout pour moi.
J’ai également appris à me débrouiller par moi-même. Tâches ménagères, courses, sorties, j’avais un certain budget que je ne pouvais pas dépasser et devais donc faire attention à bien le gérer. Je me suis rendue compte que vivre en colocation signifiait apprendre à faire des concessions et que chaque personne avait ses petites habitudes qu’il fallait respecter.
D’un point de vue culturel, j’ai rencontré des gens de toute l’Europe : du Portugal, de France, d’Espagne (évidemment), d’Italie, de Lituanie en passant par la Pologne et j’en passe. Toutes ces rencontres m’ont permis d’en savoir plus sur ce qui se passe actuellement dans le monde et de découvrir différentes traditions, mentalités et plats typiques de ces pays.
Grâce aux Erasmus, j’ai aussi pu pratiquer un peu mon anglais et me sens désormais plus à l’aise, bien qu’il me reste encore beaucoup pour le parfaire. Mais j’ai surtout pu pratiquer énormément mon espagnol. Étant moitié péruvienne, j’ai toujours entendu parler la langue mais sans jamais la pratiquer par peur de faire des fautes. Dans ce pays, j’étais évidemment obligée de le pratiquer. Par chance, j’ai connu énormément d’Espagnols avec qui j’ai pu parler et qui ont eu la gentillesse de me corriger quand je faisais des erreurs.
J’ai également eu l’occasion, malgré la pandémie, de pouvoir voyager à plusieurs reprises à travers l’Andalousie. J’ai, entre autres, visité : Malaga (3x), Ronda, Nerja, Sjéville (plus d’une dizaine de fois) Granada et plein de petits villages.
Je ne remercierais jamais assez la HEG-Genève de m’avoir donné l’opportunité de faire ce voyage exceptionnel. Je recommande cette expérience à 5000% à toute les personnes qui auront l’occasion d’y participer. J’ai désormais des amis à travers le monde que je compte revoir. Je compte également retourner dans cette ville qui est désormais ma deuxième maison.
Et si c’était à refaire ? J’y retournerai sans même réfléchir et je compte même faire un deuxième Erasmus si la possibilité s’offre à moi en Master.
Je m’appelle Dylan, j’ai actuellement 23 ans, et je suis étudiant Bachelor en International Business Management. J’ai choisi de partir en Erasmus à Budapest lors de mon 4ème semestre.
Je suis parti en Hongrie pour deux raisons principales :
Budapest m’est venu à l’esprit bien que d’autres destinations étaient proposées. La Hongrie a l’emplacement idéal pour ceux qui aiment voyager comme moi, elle est donc un tremplin parfait pour s’organiser des week-ends aux quatre coins de l’Europe. De plus j’étais curieux de son histoire, de sa culture, de ce qu’elle avait à proposer puisque c’est une région que l’on ne nous présente que très peu à l’école. La deuxième raison, c’est qu’après avoir fait un état des lieux des échanges disponibles au sein de l’école, j’ai retenu Budapest sur les critères suivants : coût de la vie faible, possibilité de parler anglais couramment, possibilité de voyager, et une ville internationale avec des étudiants du monde entier. Enfin, j’ai choisi la Hongrie pour pouvoir y pratiquer l’anglais, omniprésent dans la vie d’un étudiant Erasmus et les cours qui sont proposés dans mon université sont intéressants.
En ce qui concerne les coûts, il faut rappeler que la Hongrie ne fait pas partie de la zone euro. Leur monnaie est le forint, 1CHF =~ 330 Ft. Au début je faisais la conversion tout le temps puis je me suis rendu compte que tout était moins cher et le calcul se fait oublier petit à petit.
Sur place, je logeais en collocation dans un petit appartement au centre-ville pour 250CHF par mois. La vie n’est pas chère. C’est aussi une bonne raison de choisir une ville de l’est ! Pour les transports, métro, tram, bateau et bus illimité (24h/24 pour le tram, pratique pour les sorties), 11€/mois pour les étudiants ! Au niveau de la nourriture le budget n’est pas extravagant, mais il faut s’adapter à la vie locale, peu de viande rouge, on oublie le bon fromage et le croissant. Pour les plus fêtards, la différence se fait ressentir, la bière est à 2€ en moyenne, le vin à 4/5€, pareil pour les cocktails et les alcools forts qui tournent autour de 5-7€. De même pour les musées et les restaurants. Prix étudiant, menus du jour à 5€.
J’ai vraiment beaucoup aimé Budapest. La ville est remplie d’histoire, et est très belle, en pleine transition, elle commence à attirer les touristes et se transforme à vue d’œil, le centre-ville est très agréable pour s’y promener. Vous y trouverez pour tous les goûts (célèbres ruin bars, zoo café, thermes, musées, balade sur les berges du Danube, sur l’ile, monuments). Je ne peux tout citer, la ville est à découvrir jour et nuit !
Lorsqu’on se demande si tenter l’expérience vaut le coup, la réponse est toute faite. Laissez tomber les préjugés comme quoi cette année peut être considérée comme une perte de temps, je n’ai pas regretté d’être parti une seule fois, comme tous les étudiants en échange que j’ai croisé, c’est une expérience de vie plus qu’une année universitaire de plus.
Je suis donc parti lors du semestre 4 en échange à Griffith College à Dublin. Je ne connaissais pas beaucoup Dublin, mais je souhaitais partir en échange dans une grande ville en Europe. De plus, le fait que la langue principale est l’anglais, m’a poussé à aller dans cette ville. Je suis parti en échange avec 2 autres étudiants de ma classe et j’ai pu prendre un appartement en collocation avec l’un d’entre eux. Pour Dublin, il a été difficile de trouver un appartement, car les prix sont très chers. Cependant, il est facile de trouver des résidences étudiantes, dont le prix reste élevé.
Dublin est une ville où il y a plein de choses à faire. Je conseille aux futurs étudiants de prendre comme cours « Irish History and Culture », qui concerne l’histoire de Dublin ainsi que l’histoire irlandaise. Ce cours m’a permis de connaitre l’histoire de Dublin ainsi que celle de l’Irlande. Le cours se déroulait en 2 parties, une première partie en classe avec de la théorie, puis avec une visite de la ville de Dublin en rapport avec la partie théorique vue juste avant. Cela m’a donc permis de visiter des lieux que je n’aurais sûrement jamais vu sans ce cours. J’ai donc pu visiter la ville de Dublin, la grande bibliothèque de Trinity College, le musée Dublina, ainsi que d’autres visites intéressantes.
Il y a aussi plein de choses à faire en dehors de l’école. J’ai pu visiter avec les autres étudiants de la HEG le musée de la Guiness ainsi qu’un musée de whiskey. Il y a aussi un grand parc (un des plus grand d’Europe) qui s’appelle Phoenix Park, où l’on peut observer des animaux vivant dans la nature de ce parc. De plus, concernant les sorties le soir, il y a tout ce qui faut à Dublin pour passer des bonnes soirées.
Concernant l’école, Griffith College est une école assez sympa, les bâtiments ne sont pas très récents, la cafétéria est très bien, il y a des salles de jeux pour passer le temps ainsi qu’une bibliothèque. J’ai pu choisir des cours en rapport avec la comptabilité ainsi que les RH et le cours d’histoire, ce qui m’a permis d’avoir les 30 crédit ECTS. Les profs sont gentils, ils sont habitués à avoir pleins d’étudiants qui viennent de l’étranger et sont donc à l’écoute.
Ce voyage a été le meilleur que j’ai fait, malheureusement il a été écourté à cause du Covid-19. En effet, après 1 mois et demi, les écoles ont fermé et j’ai commencé à avoir les cours en ligne. J’ai donc décidé de rentrer en Suisse, et j’ai pu suivre les cours en ligne et effectuer les examens à distance.
Malgré cela, je recommande fortement cette destination pour un échange, il y a vraiment beaucoup de choses à faire et on ne s’ennuie jamais là-bas.
Première chose qui surprend en arrivant en Nouvelle-Zélande c’est le changement de saison. Les saisons sont inversées donc en quittant l’Europe au milieu de l’hiver on se retrouves à la fin de l’été de l’autre côté du monde. En arrivant, vous distinguerez depuis votre hublot les premières terres, des eaux bleues et des plages immenses de sable noir (typique ici). Puis des forêts luxuriantes, tropicales, le centre-ville avec des gratte-ciel immense comparés à ceux que l’on a l’habitude de voir à Genève. Cependant, les villes ne sont pas comparables à des villes américaines ou anglaises cela reste globalement calme. Ce qui est vraiment dépaysant c’est la nature qui est magnifique, c’est vraiment le point fort de ce pays. Les paysages sont variés : montagnes, volcans, océans, plages, jungles, forêts.
Le problème auquel on se heurte très vite c’est le manque de moyen de transport. Les transports publics à Auckland ne sont pas fiables et peu fréquents. Le train et l’avion restent chers. La meilleure option est donc de louer une voiture pour accéder aux endroits touristiques, les plages, les volcans, les forêts aux arbres démesurés, les sites géothermiques, les randonnées, etc…
Un autre point concernant le climat est qu’ici la météo est très capricieuse dû au climat océanique. Le temps change vite et il y a beaucoup de vent. Niveau température il peut faire chaud mais c’est très largement supportable.
Concernant l’école, je n’y suis allé qu’un mois dû au Covid-19, donc je vais essayer de faire une petite synthèse. L’école est très moderne, les locaux doivent avoir 5 ans tout au plus. C’est un campus à l’américaine, c’est immense. Du matériel à la pointe de la technologie, des ordinateurs présents partout et disponibles gratuitement pour tous les étudiants, beaucoup d’endroits pour travailler et pour se poser. L’université est située au centre-ville et vous aurez cours dans de grands buildings.
L’enseignement quant à lui, est dans l’ensemble de bonne qualité. Il faut tout de même un petit temps d’adaptation pour se faire au rythme. Globalement, les profs sont très à l’écoute et se veulent relativement présents pour venir en aide aux étudiants et d’autant plus à ceux qui sont en échange. Cependant, ne vous attendez pas à un traitement de faveur, vous êtes considérés comme un natif pour ce qui est de l’orthographe et de la grammaire. Comme à la HEG nous avons énormément de travaux de groupe, choses qui amène à dialoguer avec d’autres étudiants ce qui est un vrai plus surtout pour s’améliorer en anglais. Les cours se veulent assez dynamiques, une matière est souvent composée de 1h-1h30 de cours théorique suivis de 1-2h de cours pratique en plus petit effectif ce qui amène chaque étudiant à participer. Maintenant, pour être tout à fait transparent je regrette un peu la manière dont ils ont géré la crise du Covid-19, je n’ai pas reçu un seul cours pendant plus d’un mois et les communications en provenances de l’école étaient toujours très floues. Dans un tel contexte, d’avantages de précisions auraient été souhaitables.
Les Kiwis sont très chaleureux et toujours prêts à vous aider. Malheureusement la crise sanitaire nous contraignant à rester chez nous, nous n’avons pas pu profiter pleinement du territoire et de ce qu’il a à offrir. J’ai quand même réussi à explorer les points principaux de l’île du Nord et l’île du Sud. Ce pays est fait pour les amateurs de sports, ski, randonnées, surf, snorkeling, BASE jump. Je vous conseille fortement de faire les balades suivantes: le Tongariro Alpine Crossing ou Tama lakes, le trail de Pukaki, le lake Tekapo, Maunganui, Rotorua, le Mont Cook, Queenstown, Milford Sound, Russell, Paihia. Et surtout, levez la tête car vous verrez rarement un aussi beau ciel étoilé. Vous pouvez voir la Voie lactée et si vous êtes chanceux des aurores boréales.
Partir en échange académique durant les études est probablement une des meilleures expériences qu’un étudiant puisse vivre.
Pour pimenter cela, y ajouter une pandémie et voilà comment conter une période ô combien formatrice et digne d’un film de science-fiction.
Plus sérieusement, j’ai eu l’incroyable chance de pouvoir partir en échange académique au semestre de printemps 2021, en pleine crise de Covid-19, à Rotterdam (Pays-Bas). A titre personnel, c’était une décision risquée car le but principal d’un échange est de rencontrer des gens venant de différents horizons et donc de socialiser et de développer mes compétences linguistiques et sociales.
Dans mon cas de figure, les cours ont débuté en ligne, ce qui a rendu l’expérience un peu plus compliquée, car impossible de suivre les cours en classe et de pouvoir échanger et discuter avec les enseignants et étudiants. Cependant, les difficultés communes rencontrées entre tous les étudiants ont permis de tisser des liens très forts, qui je pense en temps normal, n’auraient pas été créés. Entre un couvre-feu à respecter, les limitations du nombre de personnes et toutes les autres restrictions liées au Covid, rien n’a été simple à organiser.
Au niveau académique, le programme que j’ai choisi était directement axé sur le monde professionnel car l’objectif était de conseiller une entreprise sur les différentes possibilités pour elle de s’exporter à l’international. Plus concrètement, cela m’a permis de mettre directement en pratique les différentes connaissances que j’ai pu acquérir à la HEG. En résumé, cet échange m’a permis de davantage connecter mes connaissances théoriques au monde professionnel.
Concernant l’aspect privé, vivre dans une résidence étudiante et devoir cohabiter avec un étudiant venant d’une culture totalement différente est une expérience enrichissante. Le fait d’avoir dû s’adapter aux différences culturels, habitudes personnelles rapidement et devoir cohabiter durant 6 mois m’a permis de développer ma capacité d’adaptation et ma résilience.
La ville de Rotterdam est également excellente et offre un cadre idéal pour les étudiants. Entre bâtiments modernes, lieux de rencontres conviviaux et une localisation idéale en Europe ont fait que l’expérience ait pu bien se dérouler malgré la pandémie.
Malgré toutes ces difficultés, j’ai pu m’épanouir durant ce semestre à Rotterdam. En effet, le programme que j’ai pu suivre à la RUAS, l’excellente localisation de la résidence étudiants ont fait que l’expérience s’est très bien déroulée dans l’ensemble.
Les rencontres que j’ai pu faire dans ce contexte particulier de pandémie, voir que l’ensemble des étudiants et des enseignants sont confrontés à la même situation a pu, comme cité
RUAS campus
précédemment, créer des liens forts qui, je suis convaincu, continueront à exister malgré la distance géographique entre les étudiants.
En résumé, partir en échange académique à Rotterdam fut pour moi une expérience incroyable et inoubliable !
Vous avez envie de vivre une expérience international après vos études?
Plusieurs établissements à l'étranger proposent des programmes de cours et/ou de stages après l'obtention de votre Bachelor.
La HEG n'est pas responsable de la gestion de ces programmes et si l'un d'eux vous intéresse, vous pouvez vous inscrire librement.
Sur cette page nous vous exposons les possibilités de destinations qui offrent ce genre d'expérience.
Cette rubrique est nouvelle et évoluera selon les offres que l'on reçoit.
Pour plus d'informations et les inscriptions, contactez le service des Relations internationales de la HEG-Genève