Née en Finlande, Nina Uhari effectue ses études professionnelles de piano à l’Académie Sibelius d’Helsinki, dans la classe de piano de Matti Raekallio et de Eero Heinonen, avant de se perfectionner à Baltimore (USA) avec Julian Martin, puis à Paris avec Bernard Ringeissen. Elle entreprend également des études d’accompagnement au Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison.
Suite à ses études elle travaille comme chef de chant au CNIPAL (Centre National d’Insertion pour des Artistes Lyriques) à Marseille de 2003 à 2012, où elle devient chef de chant principal en 2008. Parallèlement elle est titulaire de la classe de rôle à l’Ecole Normale de Musique de Paris.
En septembre 2012 Nina Uhari est engagée à la HEM de Genève en tant que chef de chant pour des classes de chant sur les sites de Neuchâtel et de Genève.
Elle a eu l’occasion de se produire en récitals et en productions d'opéra en Finlande et en France - Festival de MIDEM, Chorégies d'Orange, Théâtre du Châtelet, Festival de Radio France et Montpellier, Festival d'Aix en Provence et aux plusieurs maisons d'Opéras françaises- mais aussi en Allemagne, en Autriche, en Espagne, en Colombie, au Togo et aux USA. Elle a été invitée pour accompagner des master classes des artistes comme Tom Krause, Yvonne Minton, Mady Mesplé, Regina Werner et Janine Reiss.
Stephane Ginsburgh s’est produit en soliste et en musique de chambre dans de nombreux festivals internationaux tels qu'Ars Musica, Quincena Musical, ZKM Imatronic, Agora Ircam, Bach Academie Brugge, Ultima Oslo, Darmstadt Ferienkurse, Gaida (Vilnius), Warsaw Autumn, Musica Strasbourg, Klara Festival et à l'Accademia Chigiana de Sienne.
Infatigable arpenteur du répertoire mais aussi explorateur de nouvelles combinaisons alliant voix, percussion, performance ou électronique, il s'est dédié très tôt à la musique contemporaine tout en développant un vaste répertoire classique. Il joue régulièrement au sein de l’ensemble Ictus et a collaboré avec des compositeurs tels que Frederic Rzewski, Jean-Luc Fafchamps, Stefan Prins, Alec Hall et Matthew Shlomowitz, dont il a créé des œuvres, ainsi qu'avec des chorégraphes telles qu'Anne Teresa De Keersmaeker. Féru de performances immersives, Stephane Ginsburgh a donné l'intégrale des sonates de Prokofiev ou les six dernières sonates de Beethoven en une soirée
Après avoir obtenu un master en musique, il a suivi les cours de Paul Badura-Skoda, Claude Helffer, Jerome Lowenthal et Vitaly Margulis. Il a été directeur artistique du Centre Henri Pousseur, studio de musique mixte et électronique basé à Liège. Il est titulaire d’un bachelier en philosophie des sciences de l'Université Libre de Bruxelles et est docteur en Arts de la Vrije Universiteit Brussel et du Koninklijk Conservatorium Brussel.
Stephane Ginsburgh a enregistré une quinzaine d'albums pour Sub Rosa, World Edition, Grand Piano (Naxos) et Kairos. Son intégrale des Sonates pour piano de Prokofiev, qualifiée de "version captivante" et "essentielle" (La Libre Belgique), a été publiée chez Cypres records.
Née à Aix-en-Provence, Sarah Branchi Cascone y débute ses études musicales qu'elle complète ensuite au sein du CRR de Montpellier. Après l'obtention des Diplôme d' Etudes Musicales en piano et musique de chambre, elle intègre très jeune le Cefedem-Sud (actuellement IESM), où elle obtient un diplôme d’enseignement de piano.
C'est ensuite à la Haute Ecole de Musique de Genève que son parcours musical la mène afin de poursuivre ses études dans la classe de Dominique Weber. Elle y obtient un diplôme d’enseignement puis un diplôme de concert.
Passionnée par la pédagogie et la transmission depuis son plus jeune âge, Sarah enseigne le piano depuis 2003 au sein des classes de l'Institut Jaques-Dalcroze et est actuellement maître de stage pour les étudiant·e·s en Master de pédagogie à la haute école.
Elle s’est produite en tant que soliste ainsi que dans diverses formations de musique de chambre en Suisse, en France et en Argentine.
En 2008 elle fonde le duo Tashko-Branchi avec la pianiste Olta Tashko. Les 2 pianistes se produisent régulièrement en récital en France et en Suisse. En 2017, elles participent à l’intégrale des concertos de J.S Bach pour 2, 3 et 4 pianos avec le quatuor Terpsycordes. Elles sont amenées en 2019 à créer le spectacle « Vagabond et Visionnaire » de S. Arnauld sur des poèmes de F. Nietszche.
Né en 1972, Valentin Peiry étudie la musique au Conservatoire de Lausanne, où il obtient un premier prix de virtuosité de piano dans la classe de Christian Favre, avec les félicitations du jury, et un diplôme de théorie musicale.
Par la suite il s’initie à la composition électro-acoustique, à la synthèse sonore, et aux techniques informatiques auprès de Rainer Boesch et Nicolas Sordet, à Genève.
De 1999 à 2018, Valentin Peiry est un des pianistes-compositeurs de l’ensemble « Piano Seven » - fondé par François Lindemann - avec lequel il enregistre quatre albums et se produit dans nombre de grandes salles (Genève, Montreux, Paris, Hong Kong, Singapour, Shanghai, Pékin, Taipe, Bangkok, Sao Paulo, Beyrouth, etc.)
Actuellement, ses activités sont réparties entre la composition, des collaborations dans les milieux de la musique, du théâtre, des arts visuels.
En 2009, il fonde à Genève « Les Athénéennes », avec les pianistes Audrey Vigoureux et Marc Perrenoud, et anime chaque année ce festival en tant que programmateur et co-directeur artistique.
Hélène Escriva fait partie de cette jeune génération de tubistes curieux et dynamiques qui souhaitent donner une place de choix à l’euphonium et à la trompette basse à travers la musique d’ensemble.
Hélène débute l’euphonium à l’âge de 6 ans au CRD du Tarn avant d’entrer au CRR de Toulouse où elle obtient en 2011 le premier prix mention très bien à l’unanimité avec les félicitations du jury. Elle poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris dans la classe de Philippe Fritsch et de Jean-Luc Petitprez. Elle y obtient en 2015 son DNSPM mention très bien à l’unanimité avec les félicitations du jury. A l’âge de 18 ans, elle remporte la médaille d’or du Concours européen des Jeunes Solistes du Luxembourg et deux fois les premiers prix du Concours national de tuba-euphonium-saxhorn de Tours en 2011 et 2013 dans la catégorie Prestige.
En 2013, elle est choisie pour intégrer l’académie de l’Orchestre Français des Jeunes à l’euphonium et à la trompette basse et travaille aussi avec des orchestres prestigieux comme l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, l’Orchestre de l’Opéra national de Paris, l’Orchestre philharmonique de Radio France, l’Orchestre de l’Opéra de Lorraine ou les Frivolités Parisiennes. Elle travaille ainsi avec des chefs reconnus tels que Tugan Sokhiev, Philippe Jordan, Emmanuel Krivine ou Jean-François Verdier.
Hélène Escriva est lauréate de la Fondation Yamaha et de la Fondation Meyer depuis 2015.
Musicologue, Nancy Rieben est depuis 2007 chargée d’enseignement à l’Unité de musicologie de l'Université de Genève. À la Haute école de musique de Genève – Neuchâtel, elle enseigne depuis 2004 l’histoire de la musique et, depuis peu, la médiation musicale ainsi que le yoga. Son activité au sein de ces deux institutions la conduit à s’occuper des échanges d’enseignements entre la HEM et l’Université, ainsi qu’à imaginer des filières communes, comme le bachelor en « Musique et Musicologie » qu’elle coordonne depuis 2008.
Son goût pour la transmission et la médiation lui permet de tisser de nombreux liens avec des institutions locales comme le Département de la culture de la Ville de Genève, les Rencontres classiques de Vernier, l’Association Arts et Lettres à Vevey, le Grand Théâtre de Genève, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre de Chambre de Genève, la RTS ou encore le Concours de Genève. Sa collaboration de longue date avec le Concours Clara Haskil à Vevey la mène notamment à s'occuper du fonds d’archives de la pianiste conservé à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne et à signer, en 2021, une exposition consacrée à la musicienne au Palais de Rumine à Lausanne.
Titulaire d’un doctorat en Sciences sociales et politiques, spécialité en sciences de l’éducation, Carine Tripet est également musicienne. Issue du jazz, mais spécialisée dans les musiques vocales du monde, elle est active en Valais où ses projets musicaux gravitent autour des questions d’immigration et du patrimoine valaisan. Elle a obtenu la bourse culturelle Musique Pro Valais, pour la période 2014-2017, avec son projet ViaVallesia.
Actuellement professeure à la Haute école pédagogique du Valais, où elle a piloté plusieurs formations, elle connaît bien le domaine de la pédagogie musicale, puisqu’elle a enseigné cette discipline durant six ans à l’HEMU. A ce titre, le contenu de ses cours est résolument interdisciplinaire, puisant dans toutes les sources utiles, afin d’établir un solide réseau de concepts et de notions permettant aux jeunes professeurs d’auto-analyser leur pratique. C’est dans cette optique que ses publications récentes s’orientent sur la construction de l’identité professionnelle des professeurs de musique.
Née à Annecy, Béatrice Martin étudie le clavecin dès l’âge de six ans. Son parcours musical l’amène à étudier avec de grandes personnalités du clavecin : Christiane Jaccottet au Conservatoire de Musique de Genève, Kenneth Gilbert, et Christophe Rousset au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Elle y obtient de nombreux premiers prix avec les plus hautes distinctions, et y achève un cycle de perfectionnement. Elle reçoit également les précieux conseils d’Huguette Dreyfus, Ton Koopman et Lars-Ulrik Mortensen lors de masterclasses.
Premier prix du Concours International de Clavecin de Bruges en 1998, elle reçoit également le prix du public et le prix des Editions Bärenreiter. L’année suivante, elle est nommée Révélation de l’ADAMI au MIDEM de Cannes.
Estimée pour ses talents de continuiste, elle a joué lors de nombreux festivals et dans une multitude d’ensembles. Elle est également une partenaire privilégiée de William Christie et de ses Arts Florissants depuis vingt ans. Reconnue pour les qualités de son enseignement, Béatrice Martin a créé la classe de clavecin à l'Escola Superior de Música de Catalunya à Barcelone et est actuellement professeure invitée à la Juilliard School de New-York.
En 2000, Béatrice Martin fonde avec Patrick Cohën-Akenine l’ensemble Les Folies françoises, au développement duquel elle participe activement.
Née à Lugano, en Suisse, Giulia Genini commence ses études de flûte à bec au Conservatorio della Svizzera Italiana avec Giorgio Merati. Son intérêt pour la musique ancienne et les instruments de l'époque la conduit à Bâle où elle poursuit ses études à la Schola Cantorum Basiliensis avec Conrad Steinmann. Parallèlement, elle commence à étudier le dulcian et le basson baroque avec Josep Borras et Donna Agrell. En 2008, elle obtient son diplôme de flûte à bec (interprétation et pédagogie) avec distinction et en 2010 son Master en pratique de l'interprétation historique en basson baroque et dulcian, également avec distinction.
Elle se produit tant que flûte à bec et bassoniste avec de nombreux ensembles internationaux et travaille avec des chefs d'orchestre renommés. En tant que soliste, elle se produit avec l'Orchestre baroque de Venise sous la direction d'Andrea Marcon au Menuhin Festival Gstaad, Schleswig Holstein Musikfestival, Settimane Musicali di Ascona, Geneva Victoria Hall, Carinthischer Sommer Festival Ossiach et au New York Carnegie Hall.
Depuis 2015, elle est souvent invitée en tant que coach invitée au Conservatorio della Svizzera Italiana de Lugano, coordonnant des sections de vents pour des projets orchestraux sur la pratique de l'interprétation historique. Là-bas, elle travaille également en tant que co-responsable d'études dans le domaine de la performance.
Elle est également membre fondatrice et directrice artistique de l'ensemble Concerto Scirocco ainsi que directrice artistique du Festival CaronAntica.
Lambert Colson se forme auprès de Françoise Defours, Pedro Memelsdorff, Bart Coen, Marleen Leicher, Bruce Dickey et Gebhard David; notamment au Koninklijk Conservatorium Brussel, à l’ESMUC à Barcelone, à la Schola Cantorum Basiliensis et l’HFK de Brême. Ses collaborations comptent des ensembles et des chefs tels que Scherzi Musicali, Le Poème Harmonique (Vincent Dumestre), Holland Baroque, La Fenice (Jean Tubéry), Pygmalion (Raphaël Pichon), B’rock, Collegium Vocale (Phillipe Herreweghe), Correspondances (Sébastien Daucé), Cappella Meditteranea (Leonardo Garcia Alarcon), Continuum...
Il dirige ses propres projets musicaux, directement issus de recherches engagées ces dernières années au sein de son ensemble InAlto. Les enregistrements d’ InAlto les plus récents ont été acclamés par la critique européenne : Diapason d’Or & Diapason D’Or de l’année 2017, Choc de Classica, 5 étoiles Rondo Magazin, Joker Crescendo, Cléf d’Or Res Musica, choix de l’année pour Libération et Le Monde...
En tant que chercheur il a été amené à contribuer à la pensée de Midi (Actes Sud). En tant qu’enseignant, il a été invité à donner conférences et masterclasses à la fondation Royaumont notamment autour de l'histoire de la notation ou de la musique Luthérienne dans le Saint Empire. Il est aujourd’hui professeur de cornet à bouquin et de musique d’ensemble au Koninklijk Conservatorium de Bruxelles ainsi que professeur d’ornementation 16ème et 17ème au Conservatoire Royal de Bruxelles.
En perpétuelle recherche sur son instrument, il poursuit actuellement un cursus de doctorat autour du cornet muet et de son utilisation dans l’Allemagne du 17ème siècle en cotutelle entre Le Koninklijk Conservatorium et la Vrije Universiteit à Bruxelles. La thèse sera présentée publiquement en 2022. Il est le dédicataire de plusieurs pièces de compositeurs contemporains : Zad Moultaka, Fabrice Fitch, Bernard Foccroulle...
Avide de collaborations inhabituelles, il travaille avec la chorégraphe Catherine Contour et découvre la pratique de l’hypnose; il explore de plus en plus les possibilités offertes par ses instruments dans les musiques actuelles : collaborant avec des artistes tels que Liesa van der Aa, Shara Nova (My Brightest Diamond) , Petur Ben , Mugison ou encore Efterklang . Il est aussi l’invité de plusieurs projets de Jazz et d’improvisation avec des artistes tels que Emmanuel Baily, Xavier Rogé, Franck Vagané, Adam Woolf, Jon Birdsong ou encore Eric Vloeimans.
Florence Jaccottet s’initie dès son plus jeune âge à la rythmique Jaques-Dalcroze au Conservatoire de Lausanne tout en étudiant le piano.
Portée par tout ce qui touche à l’expression corporelle et musicale, elle s’engage dans la filière Musique et mouvement de la HEM Genève où elle obtient en 2011 un Bachelor of Arts, complété deux ans plus tard avec un Master of Arts en pédagogie Jaques Dalcroze.
Enseignant depuis 2015 la technique et composition du mouvement ainsi que la création au sein de la HEM, elle est nommée en 2018 chargée de cours de rythmique au sein de l’institution.
Entre enseignement et expression artistique, l’activité de Florence Jaccottet s’articule également autour de sa passion pour la danse dont elle expérimente les diverses formes depuis de nombreuses années. Placée au cœur de sa recherche artistique, l’expression du rythme et de la musicalité du mouvement fait de sa danse un langage contemporain singulier.
Enfant prodige, Pierre Fouchenneret obtient à 16 ans son premier prix de violon et de musique de chambre au CNSM de Paris dans les classes d’Olivier Charlier et de Daria Hovora, et remporte ensuite le Grand Prix du Concours International de musique de chambre de Bordeaux, le Grand Prix Georges Enesco de la Sacem, et devient lauréat de la fondation Natixis et artiste associé de la Fondation Singer Polignac.
Invité sur les scènes du monde entier, Pierre Fouchenneret est rapidement amené à jouer avec des musiciens d’exception tels que le Fine Art Quartet, Jean-François Heisser, Jean-Frédéric Neuburger, Zongh Xu, Julien Leroy, Nicolas Angelich…et fonde en 2013 le Quatuor Strada avec Sarah Nemtanu, Lise Berthaud et François Salque.
Artiste complet Pierre Fouchenneret est reconnu par les orchestres français et internationaux pour son audace et sa vision du répertoire.
Violoniste talentueux, Julien Zufferey se forme auprès de Tibor Varga à Sion, Margarita Karafilova à Lausanne et Berent Korfker à Amsterdam avant de se perfectionner avec Shmuel Ashkenasi à Chicago et à Lübeck.
Julien Zufferey est membre fondateur du trio Nota Bene avec lequel il se produit, depuis plus de dix ans, sur la scène européenne, collaborant avec des artistes tels que Nobuko Imai, Ilya Gringolts, Silvia Simionescu, Gérard Caussé, Christoph Schiller, Jürg Dähler, Pierre Amoyal, Shlomo Mintz, Fabio di Càsola ou Brigitte Fournier.
Sur le plan international, il donne des concerts dans de nombreux festivals de renom et salles de concert prestigieuses telles que le Concertgebouw d’Amsterdam ou le Teatro Sociale di Castiglione delle Stiviere.
Il joue sur un violon de Jean-Baptiste Vuillaume (1866) généreusement mis à sa disposition par un mécène suisse.
L’excellent jeune corniste Benoit de Barsony, issu du CNSM de Paris, est le cor solo de l’Orchestre de Paris depuis 2006
Parallèlement à son activité orchestrale, Benoit poursuit une carrière de musique de chambre qui l’amène à se produire dans de grands festivals (Festival de la Roque d’Anthéron, Festival international de Salon de Provence, Festival de la Chaise-Dieu, Festival de Kuhmo…) en compagnie de musiciens tels que Daishin Kashimoto, Paul Meyer, Emmanuel Pahud et Eric Lesage.
Il s’est produit à plusieurs reprises en soliste avec l’Orchestre de Paris (Salle Pleyel, Philharmonie de Paris, NHK Tokyo), l’Orchestre de Chambre de Genève et l’Orchestre des Pays de Savoie.
Benoit de Barsony était jury invité du dernier concours de l’ARD de Munich. Il est également rédacteur en chef de la revue du corniste.
Né en 1990 à Paris, Bertrand Chatenet commence l’apprentissage du cor avec Patrice Petitdidier au Conservatoire de Gennevilliers, puis avec Jérome Rouillard (Horn), Paul Meyer et Eric Lesage (quintet à vent). En 2009, il étudie aux côtés d’Erich Penzel, Christian Lampert et Christoph Ess à la Musikhochschule de Stuttgart, puis en 2013 avec Christian-Friedrich Dallmann et Sebastian Posch à l’Université des beaux-arts de Berlin. Depuis 2010, il se produit principalement comme soliste avec de grands orchestres tels que l’Orchestre symphonique de la radio de Stuttgart (SWR), l’Orchestre de l’Opéra d’État de Bavière ou le Deutschen Symphonie Orchester Berlin.
Il est actuellement Cor Solo de l’Orchestre philharmonique de Munich et professeur assistant à la UDK de Berlin.