"A travers les lignes de l'espace"d'Elise Chauvigné et Léa Rime
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"A travers les lignes de l'espace" d'Elise Chauvigné et Léa Rime
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"A travers les lignes de l'espace"d'Elise Chauvigné et Léa Rime
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Where is Peter" de Jérome Nager et Pascaline Vuilloud
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Where is Peter" de Jérome Nager et Pascaline Vuilloud
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Where is Peter" de Jérome Nager et Pascaline Vuilloud
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Trompoïte" d'Estelle Béroujon et Anaïs Youssefi
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Psychoscope" de Camille Berra et Christine Demierre
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Psychoscope" de Camille Berra et Christine Demierre
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Proxcinémascope" de Roméo Drege et Marie Widmer
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller
"Proxcinémascope" de Roméo Drege et Marie Widmer
© HEAD – Genève, Raphaëlle Mueller

Atelier - Scène de ménage . Partie 1/3 Machine à voir

Décembre 2017

Atelier semestriel dirigé par Youri Kravtchenko 
Assisté de Florine Wescher

L’atelier semestriel s'est questionné sur les outils de projections de la vie domestique. Ce premier exercice interroge la manière dont on regarde. L’atelier se conclue par une exposition éclaire dans les ateliers du bureau d’architecte YKRA à Genève. On dit parfois que - dans une histoire d’amour - on ne peut pas changer l’autre, seulement soi-même ou la relation.Dans notre cas, un sujet utilise ses sens pour expérimenter un objet dans un contexte et une relation donnée.Si un sujet regarde un espace, alors l’architecte peut agir beaucoup sur l’espace, un peu sur la relation entre le sujet et l’espace, rarement sur le sujet (sauf à lui faire ingérer un psychotrope).Ce drame est en passe d’être résolu grâce à des redoutables machines « à mieux voir »

Les étudiants choisissent finalement un espèce d’espace domestique qui leur est cher sous la forme d’un document (écrit, dessiné, photographié, filmé) leur évoquant en souvenir paradigmatique. Ayant extrait toutes les données poétiques ou scientifiques utiles à leur projet, ils imaginent une installation comprenant une machine immersive agissant autant sur l’objet représenté que sur la relation entre le sujet et l’objet. 

Ainsi se pose, l’éternelle boucle de question que tout architectes s’est posé un jour : Comment regarder la réalité qui s’offre sous nos yeux ? Comment percevoir une image de celle-ci ? Comment la transcrire à nouveau en trois-dimension ? Puis à nouveau regarder cette mise en perspective ? Comment capturer une émotion puis la restituer autrement à travers le langage de l’architecture ?
 

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